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Le Journal d'artisanat marocain

Le journal d'artisanat marocain vous propose des idées en décoration orientale et marocaine ainsi que l'actualité d’artisanat au Maroc. Vous y trouverez sur le Blog journal d'artisanat marocain les nouveautés de l'artisanat Marocains : décoration marocaine, salons marocains, peintre marocain, Caftan Marocain...

jeudi 27 décembre 2012

Sanaat Bladi 3: Caravane de Marrakech


Sanaat Bladi La 3 éme édition pour cette année 2013 sur le Blog d'artisanat spécialiste d'artisanat marocain et art de décoration oriental journal d'artisanat du Maroc. découvrez le caravane de Sanaat Bladi à Marrakech.

mardi 25 décembre 2012

Décoration marocain : Salon Déco traditionnelle

Décoration marocain et les photos de meilleurs riads et maisons du Maroc sur le Magazine d'artisanat marocain et Décoration Orientales du Maroc. Retrouvez Décoration du Salon et Modèles d'artisanat de Zellige marocain.

Décoration marocain

lundi 24 décembre 2012

Les épices au Maroc


Employez des épices fraîches : elles sont plus parfumées et plus savoureuses. Il est préférable d'utiliser des épices récemment achetées. Pour cela, approvisionnez-vous par petites quantités et à mesure de vos besoins.
Évitez de les mélanger, leur goût franc et spécifique est toujours préférable.
Choisissez plutôt des épices entières (poivre, coriandre, muscade, cumin, fenouil...) qui donnent de meilleurs résultats en ce qui concerne la saveur et le parfum.


Tentez des unions anciennes comme cannelle-gingembre, très prisées dans la cuisine médiévale française.
Procédez avec modération pour les dosages, si vous ne possédez pas la maitrise d'une épice au Maroc.
N'utilisez une épice que si vous êtes sûr de sa qualité. Pour cela, ne conservez pas trop longtemps les épices - surtout en poudre - elles s'altèrent et s'éventent avec le temps, même si elles sont placées dans des boîtes opaques et dans un endroit frais.


Essayez de les congeler, c'est la meilleure solution pour préserver leurs qualités.
Éliminez sans hésitation celles qui présentent moisissures ou aspect douteux.
Confectionnez le plus souvent vous-même la poudre d'épice, avec un moulin à café (réservé aux épices), un mixer, un mortier.
Certaines épices (gingembre sec, curcuma, galanga) sont très dures et très difficiles à écraser. Il est donc préférable de se les procurer en poudre.
N'oubliez pas que les épices, même en très faible quantité, parfument fortement les aliments et peuvent remplacer le sel lorsqu'il est interdit pour certains régimes.

dimanche 23 décembre 2012

La haute joaillerie au Maroc

Quatre statues dorées de trois mètres de hauteur sont dressées dans la première pièce. Chacune d'elles symbolise un voyage. À mi-hauteur, ces totems barbares parés de fruits, de coquillages, d'astres et d'étoiles présentent une vitrine qui sert d'écrin à une parure.



Une coquille en rubis révélant une énorme perle fine semble jaillir du fond des océans. Toutes les composantes de la haute joaillerie marocaine sont réunies dans ce bijou qui illustre l'odyssée de l’artisan marocain. Les rubis calibrés sont disposés suivant la technique du serti mystérieux. Chaque pierre, légèrement incisée sur les côtés, est disposée sur un double rail métallique invisible qui permet de dissimuler entièrement la monture. Exécuté à plat, ce type de travail est déjà un exploit technique. Réalisé en creux de manière à évoquer la courbure de la coquille, c'est un tour de force. La perle fine disposée au centre est une rareté de la nature par son poids et son orient. 

Un excellent mâallem artisan vous présente un collier composé de lignes sinueuses de saphirs, d'émeraudes et de diamants. Elles ont la brillance de l'eau, avec les différentes couches de lumière qui traversent la mer. 

samedi 22 décembre 2012

Acheter vos bijoux au Maroc

Paradis du promeneur, l’ancienne médina est un secteur attrayant pour les amateurs de shopping des bijoux au Maroc. S'il est difficile de dégager des tendances par quartier, on peut toutefois avancer que certaines boutiques regroupent une partie des enseignes de grandes marques de la bijouterie au Maroc. Ailleurs, chacun trouvera un modèle inédit de colliers et bracelets, entre les magasins de la médina, de créateurs, et des enseignes de grande notoriété, vous allez certainement découvrir la particularité de la bijouterie marocaine.




Au Maroc, on compte quelques centaines de boutiques intéressantes de créateurs de bijoux en or et en platine. Il faut aussi compter quelques centaines de sites de vente en ligne dédiés aux articles de la bijouterie, facilement accessibles et vous permet de vous procurer à moindre coût votre article de bijouterie. Dans la principale médina de Fès, vous serez au rendez-vous pour retrouver les dernières tendances des bijoux au Maroc. Ceux qui préfèrent le « tout-en-un » peuvent se rendre au commercial « Kissariat » pour acheter ou vendre des bijoux anciens et nouveaux au meilleur prix du marché.

jeudi 20 décembre 2012

La calligraphie sur le plâtre


Exemple de calligraphie cursive naskhi dans une grande chemmassia à la magnifique ciselure. D'une part, au-dessus de chaque couple de pommes de pin, un verset du Coran peint en blanc sur fond bleu, s'inscrit dans un polygone allongé D'autre part, des disques rouges cernés d'or encadrent les noms d'Allah, de son prophète Mahomet et des quatre premiers califes, en lettres dorées et soigneusement chanfreinées. Remarquablement bien intégrée au décor, la calligraphie, elle-même réelle entité décorative, affirme avec évidence son caractère ornemental. Dans la photo, en haut, nous lisons : « Celui qui cherche refuge auprès de toi, meilleure des nobles créatures, Dieu le protège de toute vindicte. »



Les sultans mérinides, grands amoureux de calligraphie, nous en laissent des témoignages incomparables, tel ce fragment de cursif andalou inscrit dans un tars ovale. Sur une hauteur de 80 centimètres, ses caractères sveltes, au délié souple, confondent leurs enroulements à ceux d'arabesques de palmettes nervurées. L'inscription veut dire : « La victoire et la gloire éclatante. »



mardi 18 décembre 2012

L’artisanat du fer forgé au Maroc

Ponctuant d'une sorte de croix dorée le turquoise uni d'une double porte en moucharabieh, cet ensemble de serrurerie moulé, orné d'arabesques en tawriq, se compose d'un verrou de section cylindrique et de deux poignées tournées, surmontées d'un, cube semblable à celui qui forme la maille du moucharabieh.





Tandis que les poignées sont fixées sur des plaques à la gracieuse découpe, le verrou coulisse sur un bandeau métallique dont la largeur est exactement égale à la sienne.
Petit heurtoir en cuivre jaune, moulé et hachuré, composé d'une étoile chérifienne à cinq branches inscrite dans une sorte de fleur stylisée.



artisanat fer forgé au Maroc

samedi 15 décembre 2012

Les plantes du Maroc

Auparavant réservés aux seuls professionnels, les végétaux issus des pépinières arborescence sont aujourd'hui accessibles au public, dans un nouvel espace unique en son genre qui vient de voir le jour à Marrakech.
Le concept? Celui d'une vraie jardinerie, avec Caddie à disposition sur allées pavées, qui présente quelque 3 000 variétés de plantes cultivées sur les différents sites d'Azemmour par une trentaine de professionnels hautement qualifiés. Plantes exotiques issues de diverses régions du monde, palmiers, arbres, arbustes, plantes aquatiques ou grimpantes, oliviers centenaires à taille nuage et autres topiaires... ces végétaux d'exception produits en plein air mais jamais sous serre (ce qui leur assure une parfaite acclimatation), sont ici proposés en conteneurs et transplantables en toute saison.



Pour entretenir et récolter :
Des étiquettes sont indispensables, si l'on veut se souvenir des espèces, variétés, coloris, dates de semis ou de repiquages. Ecrivez avec un crayon feutre indélébile. Un sécateur ou même deux : l'un sera plus fort pour les branches à élaguer ou la taille des arbustes. Le petit récoltera les fleurs, supprimera les fleurs fanées.

Des tuteurs et des liens solides pour attacher, palisser, retenir les branches en difficulté, particulièrement dans les régions côtières ou très ventées. Vous avez le choix entre les filets à palisser à larges mailles, pour les grimpantes annuelles, les treillis de bois ou de grillages fixes, les bambous et tuteurs individuels.

Pour effectuer les traitements contre les ravageurs et maladies, achetez les bombes de produits mixtes (contre les insectes et les maladies). Si le jardin marocain est assez grand, préférez un pulvérisateur maniable et prévoyez un panier large pour les récoltes ou la collecte des fleurs fanées.

mardi 11 décembre 2012

La décoration de coupe-papier au Maroc

La forme et la décoration de ce coupe-papier sont inspirées de la sculpture sur bois traditionnelle au Maroc. Pleine d'invention et d'originalité, cette sculpture se caractérise en particulier par le choix de motifs intimement liés aux mythes, à la religion et aux techniques de travail locales, et par les faibles influences extérieures. Bien que ces oeuvres fassent souvent preuve d'une grande maîtrise et d'un sens profond du mouvement, les techniques mises en œuvre sont généralement assez simples. Il s'agit le plus souvent de sculpture par encoches ou de taille en épargne.



Les œuvres sont fréquemment rehaussées de peintures ou de teintures, et d'incrustations colorées. Les marocains, quels que soient leur mode d'organisation et leur habitat, ont souvent très largement développé l'artisanat, entre autres le tissage et la peinture, mais aussi et surtout la sculpture sur bois parce qu'elle a de nombreuses applications pratiques. Les outils dont se servaient les artistes d'alors étaient simples et peu nombreux : herminette, couteau (ou poignard) et foret à arçon (tige tendue par une corde, un peu comme un archet). Les secrets et les techniques de cette sculpture étaient jalousement gardés, et transmis seulement de père à fils ou de maitre à élève.

L'évolution des styles était généralement fort lente, maintenue dans le cadre traditionnel. Les formes comme les motifs décoratifs étaient directement liés aux possibilités des outils et des techniques maitrisées, mais aussi au caractère utilitaire de la production. Les bols, écuelles et plats d'usage quotidien étaient généralement façonnés par l'artisan du village, alors que les objets destinés au rite religieux (récipients divers, cannes, sièges, coffrets) sortaient des mains de véritables artistes professionnels. 

lundi 10 décembre 2012

Les meubles marocains

Les meubles marocains et syriens se côtoient harmonieusement. Des petites cheminées blanches surmontées d’une coupole évoquent le mausolée d’un saint protecteur. Des chambres standard aux suites, communiquant entre elles par des petits paliers, le choix d’hébergement est large.



De la grande terrasse, on peut admirer les cimes enneigées de l’Atlas. Un mamouni (treillage en bois) et une tente berbère en laine protègent ces salons en plein air. De simples matelas, des tapis, des petites tables peintes en bleu participent à l’ambiance pour une pause décontractée.
Une piscine propose ses eaux rafraîchissantes par grande chaleur. On peut déjeuner ou dîner sur la terrasse à la lueur des chandelles pour admirer les étoiles du ciel de marrakech. La cuisine proposée par les chefs cuisiniers, venus du pays des cèdres. Ils préparent des plats marocains revisités par la modernité, c’est la richesse de la gastronomie marocaine aux accents méditerranéens.



samedi 8 décembre 2012

La décoration du bois de Dar Essalam


Cette profonde coupole entièrement hérissée de mougarnas est une des plus belles réalisations du meilleur maallem de la ville « Mr Bellamine ». Le détail artisanal des stalactites montre de quelle complexité de formes et de couleurs naît la féerie du décor.

Les petites formes superposées sont peintes avec une grande liberté, tantôt de motifs de feuillages, tantôt de couleurs soulignant simplement les courbes et les reliefs. Cette juxtaposition donne une sorte de vibration chromatique dont le regard ne se lasse pas.




Invitation à une rêverie sans fin, cette coupole retombe sur une frise alternant des colonnes géminées nervurées avec des ogives décorées de vitraux très colorés.

Marrakech : Tombeaux saadiens
Ce plafond carré en bois est fait d'une combinaison entre des mougornas et des motifs géométriques sculptés. La lumière, s'accrochant à ces reliefs de façon différente suivant les heures de la journée, donne à ce plafond ancien toutes les vibrations possibles d'une unique couleur, celle ambrée du cèdre naturel.


jeudi 6 décembre 2012

Décoration marocain et architecture : les arsats au Maroc


Ce sont des plantations de rapport basées sur un système d'irrigation, composées d'espaces disposés en carrés égaux et séparés par des chemins surélevés utilisés pour circuler à pied sec et pour guider les eaux ainsi disciplinées.
L'appareil qui distribue l'eau y occupe une place importante :
Grandes roues qui élèvent l'eau de la rivière;
Norias actionnées par un mulet;
Réservoirs en béton de chaux où viennent se nicher les guétaras (qattarat) (puits reliés entre eux par une galerie souterraine qui amène l'eau à fleur du sol par une pente plus douce que la déclivité de la plaine).

Artisanat du Maroc

On compte six réservoirs à l'Aguedal de Marrakech, dont deux mesurent environ deux cent mètres de côté et quatre mètres de profondeur. Celui de la Ménara, d'une surface de trois hectares, est le plus remarquable.
Les petits canaux d'irrigation des arsats au Maroc sont construits en maçonnerie. Ce sont des aqueducs, hauts d'un pied environ, qui courent en bordure ou dans l'axe des allées. Ils ne constituent jamais, comme ailleurs, l'élément décoratif et n'existent que pour leur utilité.

Décoration marocain

Les arsats sont plantées d'orangers, de citronniers, d'oliviers, de grenadiers, ainsi que de quelques palmiers clairsemés. Entre les arbres, que le jardinier laisse non billés, sont semés les piments, les aubergines, les pommes de terre, les choux et les courgettes. Les treilles pour la vigne se trouvent au-dessus des allées et parfois des peupliers argentés (les çalçafs) sont plantés le long des canaux. Décoration marocain

dimanche 26 février 2012

Marrakech : La place de Jamaa El Fna


La mosquée de Jemâa El Fena se trouve à Marrakech. Elle est construite par Le sultan AL MANSOUR à une époque ou régnait des conditions sociales très défavorables.



La place jamaa el fna


jamaa el fna Marrakech

lundi 20 février 2012

Salé : L’ancienne ville


Au bout de la rive gauche, à l’embochure de l’oued bou regreg et vis-à-vis de rabat, la capitale administrative du maroc, se dresse l’ancienne ville de salé. La cité affiche pudiquement ses atours dernière ses anciens  remparts. Elle raconte mille et une histoire sur les peuples qui ont hanté ce site, qui l’ont édifié puis déserté après l’avoir imprégné de leurs diverses histoires et de leurs luttes pour la suivie.

L’ancienne ville : salé
La vie de salé a hérité de l’ancienne appellation du port préislamique. Sala colonia, connu aujourdhui sous le nom de shella. Selon la légende, salé fut construite sur les ruines de shella,  détruite durant les guerres des bergouatas à la quatriéme décennie du IX eme siécle.  Les bergouatas ainsi que diveres communautés s’y sont établis par la suite. Les achiryines , à l’origine des ommeyades d’andalousie,  ont également immigré à salé et y ont édifié un magnifique palace, cité par les poètes de l’époque…d’autres populations se succéderont à salé.

Carte de salé
 Les beni ifren en feront leur capitale. La ville, d’une superbe architecture, sera floris sante à cette période de son histoire. Elle sera l’un des ports de prédilection pour les différentes dynasties qui se sont succédé au Maroc : les almoravides, les almohades, les mérinides et les alaouites, du XI eme Siécle à nous jours. Les almohades affichaient un intérêt  particulier pour salé.
la ville de salé
Conquise durant le régne d’abdelmoumen en 545 de l’hégire et transformée en centre militaire, la ville était considérée comme base arrière pour les armées partant à la conquête de l’afrique du Nord et de l’andalousie. Et c’est yacoub El mansour, roi almohade, qui va reconstruire ses remparts et bâtir sa grande mosquée qui existe encore aujourd’hui sous la régne des mérinides, qui gouvernément le Maroc du XIII au XIV siécle, salé a sans doute connu son âge d’or. Elle conservera son rôle de port militaire consacré à la construction des navires de guerre. D’ailleurs, les vestiges d’une fabrique d’armez à bab mrissa en attestent. Ses remparts furent fortifiés en bord de mer et du côté de la rivière.

En 1341, la médrasa abou el hassan fut fondé pour acueillir les étudiants en médecine, exerçant dans un hôpital qui occupait la place de l’hôtel askour, transformé aujourdhui en tribunal législatif …grâce à un aqueduc qui existe toujours, les mérinides ont approvisionné la ville en eau douce provonent d’une source en dehors des rempart. Sous les mérinides, salé a connu un essor économique et commercial sans précédent. Ses marchés, organisés sous forme de corporation (forgerons, tisserands, marquiniers…), continuent d’exister à ce jour.
Un des principaux ports de résistance aux offensives ibréques
avec le déclin des mérinides, puis le régne des wattassides et des saadiens, l’histoire de la ville traversa une phase glorieuse que la lajorité des villes macoicains n’a pas connue.
Salé et ansi devenue l’in des principaux ports de résidance aux offensives ibériques (les portugais et les espanols). Elle s’est transformée également en base de départ des pirates de mer, notament après l’expulsion des morisques par décision du roi philippe III, à partir de 1609.
Une coalition entre le résistant Al ayachi et les indépendant, séparé de la dystie régnante à Marrakech, Sa mission : repousser les offensives euro-tanger.

 En 1641 les dilayines mettront un terme à la domination d’al ayachi en s’emparant de la casbah de rabat et des rênes de pouvoir à salé. Cette dernière ne connut pas d’essor particulier à cette époque car les dilayines vouaient toute leur énergie aux combat contre les Européene et à l’élargissement des frontière de leur principauté. L’avènement des alaouites, qui anéantirent les Dilayines, rendra à salé son rôle initial de port militaire et de base de départ des flottes de guerre.
Le roi moulay ismail rénovera plus tard l’enceite de la ville et construira plus la casba des Gnaoua. Le sultan sidi mohammed ebn abdllah donna à son tour l’ordre, en 1760, de construire la grande sqala en face de la ville de rabat, le sultan Moulay Abderrahmane poursuivra , entre 1847 et 1854, la fortifiction de la ville en édifiant la nouvelle sqala et la grande tour.
traditions séculaires intacles
Aujourd’hui, visteur de salé pourra apprécier une ville moyenâgeuse qui a su conserver son patrimoine, ses monuments historiques et ses traditions andalouses.   
Moqué de salé
Mais la ville ne doit pas son caractère singulier uniquement à ses monuments historiques. Ses habitants ont su préserver leurs traditions séculaires intactes, que ce soit au niveau des costumes, de l’art culinaire ou de leur manière de célébrer les fêtes regieuses, d’ailleurs, le Caftan et costume de mariée de salé est différent de celui de Rabat et le couscous Slaoui et cuisine d’al aid El adha n’a pas son égal au Maroc…de même, l’aÏd  el mawlid( la fête marquant la naissance du prophète) est célébre à salé par un festival des cierges (mawsim achoumou) unique en son genre.
Festival de salé

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